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Ikigami, tome 7, de Motorô Mase – Kazé éditions, 2010.

 

Quand les Services sociaux envoient une inspectrice évaluer le travail de Fujimoto, le jeune fonctionnaire sent soudain sur ses épaules le poids de la suspicion étatique. Difficile alors pour lui d’être d’un quelconque secours aux deux jeunes hommes qui reçoivent cette fois l’Ikigami. Pour accepter leur destin amputé, ils vont devoir trouver la paix dans leur passion, face au regard des autres et malgré le temps qui passe trop vite… Que feriez-vous de vos dernières 24 heures ?

Je reprends cette série Ikigami après l’avoir « abandonné » au tome 6 en 2010… Les évènements sont toujours un peu redondants malheureusement, et l’intrigue principale avance bien trop lentement. Cependant, le thème du regret, largement abordé dans ce tome 7, est bien traité, et les deux personnages qui reçoivent le fameux ikigami sont touchants. J’irai peut-être au bout de cette série. Encore trois tomes…

 

Monster, tome 11 : L’Angle mort, de Naomi Urasawa – Big Kana, 2003.

 

Un appartement dans un vieil immeuble des bas quartiers de Prague avec une enseigne ornée de trois grenouilles… Une femme y vivait avec ses deux enfants, des jumeaux, il y a une dizaine d’années. C’est ce que Tenma apprend des voisins. Ils lui parlent également de la police secrète tchécoslovaque et d’un étrange incendie. Les jumeaux en question pourraient-ils être Johann et Anna ? Parallèlement, Suk, un jeune inspecteur de la police de Prague, tombe sous le charme d’une jolie fille qu’il a rencontrée dans un bar. Elle s’appelle Anna ! Lorsque Tenma et Suk se rencontrent, une nouvelle tragédie se prépare autour d’eux.

Encore un manga dont j’avais arrêté sans raison la lecture. J’avais lu le tome 10 en 2008, puis plus rien… J’ai retrouvé avec plaisir cette intrigue riche et complexe, et ses personnages, attachants pour certains et troublants pour d’autres. L’histoire était étrangement encore assez fraîche dans mon esprit, une bonne surprise !

Nos âmes jumelles, de Samantha Bailly – Rageot éditeur, 2015.

Sonia est la plume, Lou le crayon. Ensemble, elles inventent, osent, racontent, décrivent… Y seraient-elles parvenue l’une sans l’autre ? De virtuel sur un forum, leur duo peut-il leur faire vivre une amitié réelle ?

J’ai passé un moment de lecture divertissant et agréable. L’écriture est légère et dynamique, l’intrigue fraîche, les personnages assez riches et complémentaires. Je lirai probablement la suite.

Un drôle de père (tome 4), de Yumi Unita – Delcourt, 2009.

Daikichi, trente ans, célibataire, n’est pas ce qu’on peut appeler un Don Juan. Pas très à l’aise avec les femmes, encore moins avec les enfants, cet homme on ne peut plus ordinaire va, du jour au lendemain, décider de devenir le tuteur légal de la fille cachée de… son défunt grand-père. Mais comment élever une jeune enfant quand on a déjà du mal à s’assumer soi-même? Un drôle de père est la première série à succès de Yumi Unita, une des auteures issues de la nouvelle vague du manga pour femmes. Elle aborde dans cette œuvre, avec beaucoup d’humanité, des thèmes aussi fondamentaux que l’amour familial, l’éducation, ou plus généralement la responsabilité individuelle. Face à l’égoïsme de la société, Daikichi fera en effet passer les intérêts de la petite Rin avant les siens. Et si le bonheur passait par le don de soi ?

Dans ce tome 4, l’auteur évoque encore et toujours comment élever seul(e) son enfant au Japon et comment cela est perçu par la société. Il parle aussi du statut de la femme, allant même jusqu’à évoquer la question du divorce dans ce tome. Intéressant. Mais je me lasse doucement de cette série, pas assez rythmée à mon goût…

Autres tomes lus : Tome 1, Tome 2, Tome 3.

Un drôle de père, tome 3, de Yumi Unita – Delcourt, 2009.

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Daikichi, trente ans, célibataire, n’est pas ce qu’on peut appeler un Don Juan. Pas très à l’aise avec les femmes, encore moins avec les enfants, cet homme on ne peut plus ordinaire va, du jour au lendemain, décider de devenir le tuteur légal de la fille cachée de… son défunt grand-père. Mais comment élever une jeune enfant quand on a déjà du mal à s’assumer soi-même? Un drôle de père est la première série à succès de Yumi Unita, une des auteures issues de la nouvelle vague du manga pour femmes. Elle aborde dans cette œuvre, avec beaucoup d’humanité, des thèmes aussi fondamentaux que l’amour familial, l’éducation, ou plus généralement la responsabilité individuelle. Face à l’égoïsme de la société, Daikichi fera en effet passer les intérêts de la petite Rin avant les siens. Et si le bonheur passait par le don de soi ?

Je m’étais arrêtée en 2010 au tome 2… Il était temps de reprendre la lecture de cette série ! C’est avec plaisir que je me suis replongée dans ce manga et que j’ai retrouvé la relation particulière qui lie Rin et Daikichi, relation qui s’étoffe au fil des tomes et cela me plait.

Autres tomes lus : Tome 1, Tome 2.

A Silent Voice (#1), de Yoshitoki Oima – Kodansha Comics, 2015.

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Shoya is a bully. When Shoko, a girl who can’t hear, enters his elementary school class, she becomes their favorite target, and Shoya and his friends goad each other into devising new tortures for her. But the children’s cruelty goes too far. Shoko is forced to leave the school, and Shoya ends up shouldering all the blame. Six years later, the two meet again. Can Shoya make up for his past mistakes, or is it too late?

Malgré les thèmes forts abordés dans ce manga (le handicap et le harcèlement scolaire), je n’ai pas été séduite par ce premier tome. J’ai trouvé cette lecture dérangeante. Le personnage de Shoya est détestable, et il m’est resté profondément antipathique du début à la fin. Je n’irai donc pas plus loin dans cette série.

Le Maître des livres (tome 1), de Umiharu Shinohara – Komikku Editions, 2014.

livres

Mikoshiba est un homme simple. Mais dans la bibliothèque pour enfants où il travaille, il excelle. Ce véritable sommelier de la littérature jeunesse ne se contente pas de raconter des histoires aux enfants. Il donne un sens à leurs lectures en sélectionnant minutieusement les titres qu’il leur fera découvrir et qui pourra changer leur vie à jamais. Une magnifique ode à l’industrie du livre, un puissant hommage aux grands classiques de la littérature jeunesse du monde entier.

J’ai voulu lire à nouveau un manga. Cela faisait bien longtemps que je ne l’avais pas fait. Hélas, ce premier tome du Maître des livres ne m’a pas plu. J’ai apprécié ce rapport au Livre et à la littérature qu’ont (ou que vont avoir) les personnages. Mais jamais assez pour vraiment entrer dans cette histoire. Mikoshiba est bien trop irascible à mon goût. Je ne poursuivrai pas avec le tome 2. Dommage !

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